Vincent, scientifique et chasseur

Tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac-tic-tac, ce bruit sembla une torture pour les parents de Vincent le jour de sa naissance. Originaire d'une belle et noble famille, tous les accouchements se passaient dans l'aile de la maison prévu à cet effet et évidemment il se trouvait dans cette pièce une énorme pendule au tic-tac incessant. Il fallu 26 heures pour que l'enfant vois enfin la lumière du jour et pousse son premier cri, un cri qui fit de l'ombre au bruit incessant de cette horloge. Enfin la joie fut de courte durée, car juste après l'annonce de cette naissance par le médecin, il dut annoncer le décès de la mère. Le silence se fit et le tic-tac revint hanter cette pièce qui deviendra par la suite un entrepôt, un rangement, un débarra pour que plus personne n'ai à rappeler se mauvais souvenir. Le père pleura sa femme longtemps, mais sans pour autant haïr son fils. Il n'était responsable en rien de la mort de sa mère et maintenant il en était le dernier souvenir.

C'est dans cet esprit la que Vincent, petit dernier de la famille Mc Gregor, fut élevé. Choyé et surprotégé, il put rapidement profiter de l'enseignement d'un précepteur et recevoir ainsi la meilleur éducation selon son paternel. Ses journées peu tournées vers l'amusement étaient, fort heureusement, entrecoupées de leçon de piano que l'enfant adorait tout particulièrement. Sa mère qu'il n'avait jamais connu et dont on lui avait vanté les qualités, était une grande pianiste qui avait laissé sa passion derrière elle pour se consacré à sa famille. C'est pour la rendre fière, ou qu'elle soit, qu'il appris, tout comme elle, à utilisé cet instrument. Si elle ne l'entendait pas, il s'améliorerait encore et encore pour lui rendre hommage et ainsi lui jouer son plus beau morceau une fois à ses cotés sur les grandes plaines. Son talent était reconnu par sa famille, mais personne n'osait lui dire qu'il pouvait se produire afin d'en faire profiter d'autres personnes. Tous le monde savait dans cette grande maison qu'il ne jouait que pour une seule personne, qu'elle l'entende ou non. Pour le jeune Vincent, si son père entendait sa musique, sa mère qui avait partager sa vie et qui partagerait sa mort l'entendrait également. Se fut cependant se dernier qui, un jour, lui offrit de l'inscrire à une audition afin de faire reconnaître son talent. Il voulut refuser, prétextant qu'il n'avait pas appris à jouer pour que des inconnus l'entendent. Son père réagit à cela en lui donnant une des rares marques d'affections qu'il lui offrait. Ce qui fini de convaincre le garçon fut les quelques mots qu'ils lui prononça dans un sanglot. Une preuve qu'il l'entendait, qu'il l'écoutait, qu'il avait reconnu en lui le talent de sa mère. C'est le cœur gros et rayonnant qu'il partie à cette audition afin de poursuivre sa route sur le chemin de sa mère et ainsi reprendre sa gloire et la porter au firmament. Ainsi, elle l'entendrait, toute les étoiles entendraient la musique, le son du piano et la mélodie venant du cœur d'un enfant débordant d'amour pour sa mère.


Cette chance qui lui était offert, il la saisi et ouvrit son cœur à ceux qui écoutait sa musique, ses propres mélodies. Il n'était pas le seul à passer cette audition, mais il se fichait bien des autres. Chacun étaient venu ici en connaissant les risques. Sur vingt inscrits, seulement trois dont le jeune Vincent furent considérés comme assez bon pour être accepté. Beaucoup avait le double de l'age de notre jeune pianiste et cela les rendaient jaloux. Pourquoi un enfant serait accepté et nous non. Voilà se que certain crièrent aux professeurs présents. Ces derniers s'empressèrent de calmer la colère des révoltés avant de conduire les nouveaux élèves à leur nouveau lieu d'étude. Ces quelques années furent bénéfiques au bon développement mental de Vincent qui réussi à être moins solitaire et donc à se faire un ami. En parrallèle, Vincent fut inscrit par son père a des cours particulier de biologie et science humaine. Il développa son art de différente façon, prenant des chemins différent pour s'améliorer, essayant d'autre style afin de se trouver totalement. C'est ainsi qu'il devint un des meilleurs de son groupe. Aucun temps libre pour le jeune homme qui devait travailler ces cours de science important au yeux de son père et ces cours de piano important au yeux de sa famille. Vers dix-sept ans, il eu enfin l'opportunité de jouer une de ces compositions devant un public inconnu qui l’acclamerait et reconnaîtrait sa valeur et non son nom. Le concert se passa fort bien et il y eu une ovation pour Vincent et sa mélodie, la première qu'il avait écrite et travailler. Cependant, il y avait quelque chose qui n'allait pas pour Vincent. Il ne sentait pas avoir réussi son coup, il n'avait pas ressentie la passion, se sentiment qu'il ressentait quand il jouait pour son père. Il se fichait bien d’être entendu par tout ces gens finalement. Les plus importants n'étaient pas la, ils n'avaient pas put se déplacer pour des raison qu'ils leurs étaient propre. C'est avec cette déception que Vincent sortie en catimini de la salle, afin de ne pas être vu. C'est en sortant qu'il l’aperçu. Un homme sortant de nul part et le regardant lui. Il semblait vouloir lui parler, lui avouer quelque chose. Un cours dialogue permit à Vincent de comprendre qui était l'homme. Un des révolté, un de ceux qui n'avait pas été choisis et qui dans l'ombre avait du continuer à jouer pour n’être jamais reconnu. Un de ceux qui auraient aimé être acclamer par la foule. Vincent comprenait sa douleur, mais ne pouvait rien y faire. Il ne voyais pas non plus l’intérêt de s’excuser pour une faute qui n'était pas la sienne, mais l'homme ne voyait pas cela ainsi. Il dévoila une chose imconnu du jeune pianiste en montrant une paire de crocs avant de s'attaqua à Vincent pour se venger et ainsi réparer le tort, même si cela n'y changerait absolument rien. L'instinct de défense prit le dessus pour notre pianiste qui esquiva quelques coups avant de ramasser un bout de cagette qui traînait dans la ruelle. Vincent remercia la ciel d'avoir suivi tout les cours d'escrime que lui avait imposer son père. Grace à cela, il réussi à désarsonner l'homme et à le frapper avec le bout de bois en plein coeur. L'attitude du révolté changea du tout au tout et il tenta de fuir, mais déjà Vincent était sur lui et enfoncais le morceau de bois plus profondement. Son adversaire était désarmé et demandait grâce, se qui ne sembla pas attendrir son bourreau qui en avait oublier qu'il tenait maintenant la vie de cette créature immonde  entre ces mains. Il termina de transpercer le coeur, et la giclé de sang qui coula sur les doigts de Vincent le ramena à la réalité.


Les autorités furent appelées par un passant découvrant le jeune homme assis à coté de son homicide, les mains et vêtements souillés par le sang. La thèse de la légitime défense fut évidemment prononcé et retenu. Vincent fut par la suite surproteger par son père, mais l'amour de se dernier n'eu aucun effet sur le jeune homme. Il se sentais faible, perdu, trahis. Ces cours de science humaine lui avait permis de tuer facilement cette créature qui ne rentrait en rien dans la logique scientifique. Son désir de connaissance poussa Vincent à chercher qu'elle était cette créature et il fini par tomber sur un mythe qui mettait encore plus en doute tout se qu'il avait apprit. Toute ces recherches le menèrent jusqu'au livre sacré puis enfin jusqu'à l'église. C'est dans cette univers que Vincent sentit enfin du réconfort. En deux ans, Vincent se tourna vers l'église sans pour autant abandonner tout se qu'il faisait avant. Quand Vincent ne comprenait pas quelque chose de la manière scientifique, il lui donnait une origine divine. Maintenant âgée de vingt trois ans, Vincent décida de prendre lui même sa vie en main. Utilisant se que lui offrait son père afin de se lancé dans la vie, il s'offrit de quoi vivre tranquillement loin de ces racines. Ainsi il quitta sa ville natal pour chercher un laboratoire ou pofiner ces connaissance et surtout se rendre utile. Pendant trois ans, Vincent chercha des informations sur la créature quu'il avait tuer en etant plus jeune. Avec se qu'il avait appris des vampires, il se demandait si c'était vraiment une de ces créatures qu'il avait tuer. Peu etre une créature a demi vampire ?? Les recherches de Vincent sur ces créatures finirent par le mètre en relation avec un groupe de personne ayant sois disant rencontrer des créatures de la sorte, mais aucun scientifique. Il continua donc a faires ces recherches seuls et sans donnée concrète. Les premières donnés arrivèrent dans sa vie grace à un jeune poupon de trois ans qu'il trouva dans un cimetière derrière l'église que je visitais régulièrement. Se bébé semblait tout a fait normal et Vincent pensa l'emmener chez lui puis au service sociaux. Le lendemain en le nourrissant, il remarqua ces petits crocs, sa peau trop pale et ces yeux d'une couleur particulière qui lui rappella celui qu'il avait tuer après son premier concert. Depuis se jour, Vincent commenca à étudier le petit garcon et d'années en années, il s'attacha tellement à lui qu'il decida de l'adopter. Imaginer qu'elle fut la joie de son père quand il lui présenta son petit fils. Evidemment Vincent se garda de lui montrer la petite paire de crocs.

Les années passèrent et Seamus, car le petit garcon portait se nom, s'interessa autant que Vincent au bienfait de l'église. Comme pour lui, Seamus eu droit a l'enseignement d'un précepteur. Ses recherches avancèrent tout en stagnant en eau trouble grace à Seamus. Se fut surtout à l'adolescence que les recherches prirent une autres route et qu'il compris qu'il manquais cruellement de moyen et d'information. Un jour, Seamus manqua le petit déjeuner et inquiet Vincent alla voir se qui se passait. C'est la qu'il découvrit une petite fille ressemblant à Seamus. Après une discution, Vincent découvrit que Seamus se transformait en une jeune demoiselle qu'il decida de nommer Loona. Les tranformations continuèrent et Vincent dut faire bien plus attention que personne ne remarque ces transformations. Cet enfant etait calme et parfois lunatique, mais dans l'année de ces quinzes ans, il se faufila dans le bureau de Vincent pour regarder dans les dossiers, se qui fit naitre une des rare dispute du père pour son enfant adoptif. Les années passèrent et les craintes de Vincent s'intensifièrent quand Seamus décida de commencer des études de comédien.


Le rythme de vie dans la maison Mc Gregor prenait une tournurent monotone. Les recherches de Vincent ne donnait rien et son fils Seamus maintenant comédien, n'était pas toujours présent. Pour chasser cette monotonie, Vincent se mit à pratiquer une autre activité en plus du piano qu'il avait retrouver. heureusement pour Vincent, le Père qu'il voyait à l'église fut un de ceux qui l'initiat au sport de la chasse. En plusieurs années, Vincent devint un bon chasseur et Seamus un bon comédien. Son secret faillit toutefois etre découvert lors d'une visite au grand père Mc Gregor. Loona avait refait surface au matin du départ et il fut difficile de la faire descendre sans qu'il ne soit pas remarquer. En faisant plus attention, aucun autre inciddent de se type ne se produisit, enfin Vincent l'espérait, car il ne pouvait pas etre toujours vers son fils surtout depuis qu'un laboratoire Italien ayant eu vent de ces travaux lui proposa de travailler avec eux concernant la découverte des immortels en se monde. Depuis se moment la, Vincent est de moins en moins présent chez lui. Les découvertes sur les trois types d'immortels et sur les humains possédant des dons magique prenaient beaucoup de temps à Vincent, si bien qu'il dut arreter de chasser le gibier normal pour s'attaquer aux créatures de la nuit qui maintenant faisaient peur à l'humaniter. Lier vie professionnele et vie de famille devenait difficile pour Vincent. Le piano si important pour lui, il n'avait plus le temps de prendre plaisir à en faire. Cependant, cette sensation, cette passion, il la ressentait encore, elle découlait en lui comme la musique de son piano. Il révait de pouvoir joué une mélodie pour un nouvel auditoire, son fils et sa fille. Eux seuls l'entendraient, eux seuls savoureraient cet instant mélodieux, eux seuls pourraient entendre et ainsi faire naître en Vincent cette passion. Un nouvel auditoire pour chaque nouveau concert, ces concerts, son auditoire qu'il choisirait et sa musique encore et encore et encore et encore sans s’arrêter, sans s’arrêter comme le bruit incessant de l'horloge qui résonne dans sa tête encore et encore depuis sa naissance. Le temps d'une note, d'un morceau, d'un concert, d'une vie et d'une mort.